Tomber mais de très haut
Tomber mais de très haut
Ils sont deux, elle et lui, dans ce qui semble être un atelier de fabrication d’histoire (bureau de scénariste, studio d’animation, d’enregistrement, labo photo…).
Sous les yeux du public, ils inventent un récit : Un homme armé (arme factice, mais le public ne le sait pas) entre dans un lieu public pour exiger son poids en fraises Tagada (« Un truc décalé qui attire le rire autant que l’attention…»). Mais la situation lui échappe et il se retrouve seul avec une inconnue dans l’immeuble vide, cerné par les forces de l’ordre persuadées d’avoir affaire à une prise d’otage. S’ouvre alors une parenthèse, un temps suspendu. L’autre est un miroir, une énigme, un horizon. Il y a dix étages à gravir, suffisamment pour que renaisse l’appétit d’exister. Ne reste qu’une seule issue : les fenêtres du dernier étage.
La chute libre comme métaphore d’une vie intense.
DISTRIBUTION
Mise en scène :
Jean-Claude Gauthier
Interprétation :
Héléna Bourdaud,
Olivier Chancelier
Création lumière :
Guillaume Suzenet
Création sonore et musicale :
Héléna Bourdaud
Création Graphique :
Olivier Chancelier
Scénographie :
Jean-Claude Gauthier,
Guillaume Suzenet
Costumes :
Anne Claire Ricordeau
PRODUCTION
Collectif Mordicus
SOUTIENS
Aide à la création du Conseil Régional des Pays de Loire, aide à la création de la Ville de la Roche-sur-Yon, Conseil Départemental de la Vendée, le Jardin de Verre Cholet, le Piment familial Mortagne-sur-Sèvre.